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Pourquoi ne pas tenter de rendre les jeunes moins accro aux écrans lorsque cela est un problème ? C’est ce que propose Soizick Fonteneau aux jeunes qui viennent la voir dans son cabinet, pour essayer de s’en détacher un peu.

L’addiction « comportementale » au smartphone, tablette, jeux sur ordinateur… on peut citer tous les écrans, est un véritable problème pour les jeunes qui en sont très dépendants. Ce sont nos ados qui sont principalement concernés mais il n’y a plus d’âge chez les enfants pour y avoir accès : 47 % des moins de 3 ans utilisent des écrans interactifs parait-il.

Il semble légitime de contrôler le temps passé par un enfant sur un écran mais ce n’est pas simple de poser des limites dans ce domaine. De nombreux parents en savent quelque chose. 

Elle apporte des outils aux jeunes pour leur permettre d’ouvrir les yeux et leur esprit sur d’autres aspects de la vie, ce qui se passe autour d’eux concrètement, leur apprendre à se poser… vivre dans la vraie vie en quelque sorte, avec de vrais amis, sans se satisfaire de ceux des réseaux sociaux.

Même si les écrans développent certaines capacités, ils sont aussi source d’enfermement.

Essayons d’ouvrir la fenêtre avec un nouveau regard sur la vie grâce à la sophrologie. Aidons-les à poser le téléphone portable ou quitter les écrans pendant un temps et risquer… l’ennui … ou pire… se rendre compte qu’il est possible d’avoir une autre activité et aussi qu’il est possible d’être soi.

Soizick Fonteneau s’est reconvertie et aujourd’hui Soizick sait que sa voie dans” la bienveillance” passe par ce cap important de la sophrologie.